Quand Boris crachait
La Noire était à son apogée après la Seconde Guerre mondiale Le polar anglo-saxon régnait, et Boris Vian devint Vernon Sullivan, un écrivain plus Ricain que les Ricains.
« I shall spit on your graves », pardon, « J’irai cracher sur vos tombes », aurait pu être écrit par un gars du Deep South, de la Caroline ou des environs. Mais le touche à tout de Villedavray avait tout pigé, et son histoire de « Nègre blanc », son récit d’une vengeance des plus impitoyables sonnait cruellement vrai, était d’une noirceur parfaitement calibrée.
Puis, en 59, il y eut le film de Michel Gast, pendant la première projection duquel Boris partit jouer de la trompette ailleurs.
« I shall spit on your graves », pardon, « J’irai cracher sur vos tombes », aurait pu être écrit par un gars du Deep South, de la Caroline ou des environs. Mais le touche à tout de Villedavray avait tout pigé, et son histoire de « Nègre blanc », son récit d’une vengeance des plus impitoyables sonnait cruellement vrai, était d’une noirceur parfaitement calibrée.
Puis, en 59, il y eut le film de Michel Gast, pendant la première projection duquel Boris partit jouer de la trompette ailleurs.
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