Boucherie fine
« Mam’zelle Hélène, mam’zelle Hélène ». C’est par ce véritable leitmotiv que se conclut le film de Claude Chabrol de 1970, « Le boucher ». Un rôle taillé sur mesure pour Jean Yanne qui met sa causticité au service d’un gars déboussolé par trop de guerres, trop de violence : un serial killer atteint du virus des rizières ou du djebel, complètement déjanté lorsqu'il quitte sa boutique en emportant ses outils de travail. Un grand film, le meilleur qu’il ait réalisé selon Chabrol il y a quelques années.
0 commentaires:
Enregistrer un commentaire
Abonnement Publier les commentaires [Atom]
<< Accueil