L'espion qui venait du froid
Dans les 60's, on lisait aussi bien des polars que des romans dits d'espionnage. Ces ouvrages aux couvertures, il faut bien l'avouer, un tant soit peu racoleuses, nous plongeaient dans les aventures d'OSS117, de Coplan agent FX18 (rien que ça). Puis, il y avait Bond, évidemment. Couvertures plus sobres même un peu austères, mais adaptations cinémétographiques caricaturales. Ça n' a d'ailleurs pas baissé d'un cran depuis, bien au contraire.
Alors, en 63, l'arrivée de "L'espion qui venait du froid", a apporté de la rigueur, de l'authenticité.
Même si l'on peut rester à bon escient nostalgique des ouvrages cités précédemment, il faut se souvenir que la guerre froide n'avait rien de chevaleresque ou de folklorique, et le roman de John le Carré nous le rappelle sans concession.
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