Bleu de méthylène
Frédéric H. Fajardie, disparu depuis peu de temps, nous a montré un autre chemin avec le néo-polar, une autre forme d'écriture du roman noir. Avec "Bleu de méthylène", il nous sert une histoire de serial killers sortant des poncifs, des sentiers rebattus à satiété. Un roman dérangenat, sombre, avec toutefois une allusion "au lotus bleu" en début de roman. Tiens, j'y pense, "le lotus bleu", bleu comme le méthylène. Ce sont ces références qui n'ont l'air de rien qui soulignent le trait, et font que l'on se souvient encore très bien d'un roman plus de 20 ans après l'avoir lu.
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