Barnaby
En décembre, je m’apprêtais à écrire une note sur l’inspecteur Barnaby, lorsque j’ai appris la mort de Derrick. J’en reviens donc à Barnaby en ce dimanche, jour où la 3ème chaîne de la télévision française avait coutume de délivrer un épisode toujours merveilleusement embrouillé et d’autant plus efficace de notre fin limier. Barnaby, c’est un peu comme l’Écossais Taggart qui sévissait jadis sur l’ex-ORTF éclatée : des histoires élaborées qui ne tombent pas dans la facilité, et donnent au polar ses lettres de déduction.
Avec Barnaby, c’est en plus The british touch, le tea o’clock, la campagne anglaise qui fleure bon la terre et l’herbe fraîche, et les cadavres qui ne sont pas de reste en la matière. C’est l’héritage de Doyle et de Mrs Christie, dans un environnement où l’on aimerait bien se hasarder à un parcours de golf.
Avec Barnaby, c’est en plus The british touch, le tea o’clock, la campagne anglaise qui fleure bon la terre et l’herbe fraîche, et les cadavres qui ne sont pas de reste en la matière. C’est l’héritage de Doyle et de Mrs Christie, dans un environnement où l’on aimerait bien se hasarder à un parcours de golf.
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