jeudi 16 avril 2009

120, rue de la gare

L'un des premiers romans de ce vieux grigou de Malet, mis en image par Tardi. Un cocktail explosif de réussite. Une histoire pas possible prenant naissance dans un stalag. Ambiance de guerre, d'occupation. De zone libre ou non. Un amnésique qui prononce "120, rue de la gare". Et c'est parti pour Burma en rescapé de la débâcle. Des personnages typiques de la mythologie polareuse, une histoire savoureuse, et le tout dessiné en noir et blanc comme dans les films de gangsters des années 50.

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