
Henning Menkell, ou le polar nordique, glacial comme les hivers candinaves. Le passé qui ressurgit, un passé douloureux, horrible, qui se concrétise dans le présent par une mise en scène macabre. Le mort semble avoir dansé le tango ! Retour du professeur de danse qui aurait esquissé quelques pas, quelques figures libres ?
0 commentaires:
Enregistrer un commentaire
Abonnement Publier les commentaires [Atom]
<< Accueil