
C'étaient les années 60, et la guerre
froide sévissait dans ce que l'on appelait alors des romans d'espionnage.
Coplan FX 18, un matricule, des couvertures en gris et blanc de chez Fleuve noir. Toute une époque, tout un mythe qui
maintenant fleure bon la poussière des
arrière-boutiques de bouquinistes. Le roman d'espionnage est par bien des côtés, le cousin germain du polar. Même récit en urgence, même rythme haletant. Deux constantes que l'on retrouve souvent, et qu'il est bon de lire ou relire.
0 commentaires:
Enregistrer un commentaire
Abonnement Publier les commentaires [Atom]
<< Accueil