
1965, un certain aspect du cinéma noir à la française. La vengeance qu'on rumine pendant des années, et les cloportes qu'on veut écraser à la sortie. En plus y a une belle brochette d'acteurs. Et enfin, c'était le temps du concret, celui des
coffiots qu'on perçait au chalumeau, et de
l'artiche qu'on transbahutait ensuite dans des sacs de
jute. Tout le contraire de notre époque de
TRADERS, du pognon qui s'envole d'un clic de souris ; même qu'on se demande ce qu'on peut bien vouloir au type qui est derrière ça, vu que
l'artiche, eh bien dans ces
conditions-là... on n'en renifle même pas l'odeur.
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