Ascenseur pour le jazz
Au début de tout, il est un roman de Noël Calef, « Ascenseur pour l’échafaud », qui, passé sous la caméra de Louis Malle, nous offre un must du suspense à la française, avec Jeanne Moreau déambulant dans un Paris by night en black’n’white, sous la trompette de Miles Davis, tandis que Maurice Ronet joue les bricoleurs dans un ascenseur coincé. « Ascenseur pour l’échafaud », film jazz s’il en est, film noir pour toujours, un monument à jamais.
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