Gainspolar
« 12 belles dans la peau », musique jazz pour texte polar, chanson noire par excellence, comme une série de même couleur. Les belles feront aussi mal que le balles dans un thriller sur fond de piano swing, bordé par la langue verte, et du noir et gris sur fond de blanche aurore désabusée. C’était bien avant Gainsbar, c’était Gainspolar qui s’ignorait, comme une rencontre entre Vian et Duhamel, Michel Legrand et Ellington.
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