Les diaboliques

Polar de l’excellence, cette histoire servie par Paul Meurisse, monocle tantôt noir, tantôt riant jaune, Véra Clouzot ou Simone Signoret, nous laisse même entrevoir au détour d’une photo de classe, le jeune twistin’ Johnny qui n’était pas encore le Halliday que l’on sait.
« Les diaboliques « ou les méandres noires de l’âme humaine, quand elle s'incarne en horrible complexité.
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