Derrick
La vie est vraiment bizarre. Je m’apprêtais à écrire une note sur l’arrêt de la série Barnaby par la 3ème chaîne de la télévision française, lorsque j’apprends la mort de Horst Tappert, alias Derrick. Je dois avouer que j’ai un faible pour les séries policières britanniques et allemandes, autant que je ne puis encadrer les séries hexagonale trop beauf, ou encore les américaines trop excessives et stéréotypées, excepté bien sûr notre bon vieux Colombo.
Derrick, c’est une ambiance, un sens de l’intrigue dont on se sent proche. Derrick pourrait très bien entrer dans votre immeuble ou sonner à la porte de votre pavillon pour vous annoncer qu’il est arrivé malheur à votre voisin, que vous ne seriez pas étonnés. Car Derrick, c’est le polar de proximité, celui qui ne peut que sonner juste et ne pas nous faire croire au brave père de famille, agent de la sécurité sociale devenu en un quart de tour super-héros. Car Derrick, c’est cohérent, carré, et on ne s’en lasse pas.
Bientôt, comme prévu, je vous parlerai de Barnaby, mais en attendant :
Tchuss, Horst, und danke schön !
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