Blue Velvet
« Blue Velvet » de David Lynch est sorti en 1986. Une petite ville américaine, apparemment sans histoire avec ses coquelicots, sa petite vie tranquille, bien peinarde.
Stephen King nous a habitué à cela. Et soudain quelque chose se passe ; le petit patelin est la proie de phénomènes étranges avec King. C’est un peu le même processus dans ce film, à part que, polar oblige, les phénomène sont tout ce qu’il y a de plus rationnels dans leur folie de débauche, de perversité. Les personnages contrastent. Il y en de très attachants, et certains très répugnants. Mais l’on finit par s’y perdre, à devenir soupçonneux, on perd le fil de l’équilibre. Film difficile, dur, éprouvant, mais sans aucun doute nécessaire et utile, « Blue Velvet » est dérangeant jusqu’à ses trames musicales. Une histoire que l’on n’oublie pas, un film qui demeure comme une douce chanson jazz au timbre rauque, à l’émotion désarticulée, pour rythmer nonchalamment un thriller époustouflant.
Stephen King nous a habitué à cela. Et soudain quelque chose se passe ; le petit patelin est la proie de phénomènes étranges avec King. C’est un peu le même processus dans ce film, à part que, polar oblige, les phénomène sont tout ce qu’il y a de plus rationnels dans leur folie de débauche, de perversité. Les personnages contrastent. Il y en de très attachants, et certains très répugnants. Mais l’on finit par s’y perdre, à devenir soupçonneux, on perd le fil de l’équilibre. Film difficile, dur, éprouvant, mais sans aucun doute nécessaire et utile, « Blue Velvet » est dérangeant jusqu’à ses trames musicales. Une histoire que l’on n’oublie pas, un film qui demeure comme une douce chanson jazz au timbre rauque, à l’émotion désarticulée, pour rythmer nonchalamment un thriller époustouflant.
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